Besedila: Alain Barrière. Et Puis Après.
Et puis apres... et puis apres
Qu'est-ce que j'foutrai
D'ce flot d'amour qui monte en moi
Qu'est-ce que j'foutrai
D'ce trop d'amour
Que j'avais invente pour toi
Que je gardais au long des jours
Planque a l'ombre de ma foi
Et puis apres... et puis apres
Quand pour de bon, quand pour de vrai
Tu n'seras plus la...
A qui j'dirai, ces mots d'amour
Qui parfois m'etranglaient la voix
Et puis apres... et puis apres
Sur qu'on n'y croit pas
Puis on se retrouve un beau soir
Peignant de gris, peignant de noir
Le temps qui va...
Sans avoir compris,
Sans meme le temps du pourquoi,
Oui tout a coup,
Le merveilleux glisse des doigts
Glisse des doigts
Un requiem ! Un adagio
Un amour fou craque en sanglots !
Et puis apres...
Y'a plus d'apres
Et puis apres, et puis apres
Qu'est-ce que j'foutrai
D'ce flot d'amour qui monte en moi
Qu'est-ce que j'foutrai d'ce trop d'amour
Que j'avais invente pour toi
Que je gardais au long des jours
Planque a l'ombre de ma foi
Et puis apres, et puis apres
Quand pour de bon, quand pour de vrai
Tu n'seras plus la
Mon desavenir, mon desamour
Mon desespoir... qui l'entendra !
Et puis apres, et puis apres
Mon pauvre amour
C'etait a moi
D'penser qu'un jour il n'y aurait
Non plus d'apres,
Jamais d'apres...
Qu'est-ce que j'foutrai
D'ce flot d'amour qui monte en moi
Qu'est-ce que j'foutrai
D'ce trop d'amour
Que j'avais invente pour toi
Que je gardais au long des jours
Planque a l'ombre de ma foi
Et puis apres... et puis apres
Quand pour de bon, quand pour de vrai
Tu n'seras plus la...
A qui j'dirai, ces mots d'amour
Qui parfois m'etranglaient la voix
Et puis apres... et puis apres
Sur qu'on n'y croit pas
Puis on se retrouve un beau soir
Peignant de gris, peignant de noir
Le temps qui va...
Sans avoir compris,
Sans meme le temps du pourquoi,
Oui tout a coup,
Le merveilleux glisse des doigts
Glisse des doigts
Un requiem ! Un adagio
Un amour fou craque en sanglots !
Et puis apres...
Y'a plus d'apres
Et puis apres, et puis apres
Qu'est-ce que j'foutrai
D'ce flot d'amour qui monte en moi
Qu'est-ce que j'foutrai d'ce trop d'amour
Que j'avais invente pour toi
Que je gardais au long des jours
Planque a l'ombre de ma foi
Et puis apres, et puis apres
Quand pour de bon, quand pour de vrai
Tu n'seras plus la
Mon desavenir, mon desamour
Mon desespoir... qui l'entendra !
Et puis apres, et puis apres
Mon pauvre amour
C'etait a moi
D'penser qu'un jour il n'y aurait
Non plus d'apres,
Jamais d'apres...
Alain Barrière