Besedila: Damien Saez. Clandestin.
Dans la chambre sans bruit
Le nuit nous faisons route.
Amoureux solitaires
Sans regarder derriere.
Nous fuyons tous les deux,
Tu me fis qu'on est fou;
Allies,la dans l'ombre
Tu eclaires
Dans les draps de satin soir
Etaient nos nuis blaches.
Toi, tu m'ouvrais la voie,
Moi, je cambrais les hanches.
Au brulant de la peau,
Au puissant des parfums
De la sueur et de l'autre
Comme deux sans abris
Au milieu de l'orage
Sous les coups, sous la pluie
Nous joingnons nos visages
Au-dela des reels
Mon amour avec toi,
Allez viens on s'arrache,
Allez viens on se crache!
Evades, Clandestins Allez viens...
Allez, envoie le corps, au defi de l'hardcore
Aller envoie tes reves aller envoie tes lunes
Allez crame mon ame qui nous brule passion que nous
Mene l'union aux hallucinations,
Que la peur dans tes yeux fasse monter l'acide jusqu'au bord
De tes levres aussi noires que la nuit qui nous emmene
Au large sur des terres sacrees ou l'on aime a saigner,
Ou l'on aime a s'aimer.
Que l'on meure maintenant dans ce lit, fugitifs,
Accroches a nous-memes, perdus dans le recif;
Que s'arrete le temps! Que continue l'instant!
Et que s'ouvre l'abysse devant toi mon amour
Aller delivre moi du plaisir qui nous ronge
Allez libere toi au violent de nos songes
Allez, transe avec moi sans jamais t'arreter,
tout nue sous l'orage, je veux te voir pleurer
Hors de moi!
S'evader Clandestins, Derapes
Le nuit nous faisons route.
Amoureux solitaires
Sans regarder derriere.
Nous fuyons tous les deux,
Tu me fis qu'on est fou;
Allies,la dans l'ombre
Tu eclaires
Dans les draps de satin soir
Etaient nos nuis blaches.
Toi, tu m'ouvrais la voie,
Moi, je cambrais les hanches.
Au brulant de la peau,
Au puissant des parfums
De la sueur et de l'autre
Comme deux sans abris
Au milieu de l'orage
Sous les coups, sous la pluie
Nous joingnons nos visages
Au-dela des reels
Mon amour avec toi,
Allez viens on s'arrache,
Allez viens on se crache!
Evades, Clandestins Allez viens...
Allez, envoie le corps, au defi de l'hardcore
Aller envoie tes reves aller envoie tes lunes
Allez crame mon ame qui nous brule passion que nous
Mene l'union aux hallucinations,
Que la peur dans tes yeux fasse monter l'acide jusqu'au bord
De tes levres aussi noires que la nuit qui nous emmene
Au large sur des terres sacrees ou l'on aime a saigner,
Ou l'on aime a s'aimer.
Que l'on meure maintenant dans ce lit, fugitifs,
Accroches a nous-memes, perdus dans le recif;
Que s'arrete le temps! Que continue l'instant!
Et que s'ouvre l'abysse devant toi mon amour
Aller delivre moi du plaisir qui nous ronge
Allez libere toi au violent de nos songes
Allez, transe avec moi sans jamais t'arreter,
tout nue sous l'orage, je veux te voir pleurer
Hors de moi!
S'evader Clandestins, Derapes
Damien Saez
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