Besedila: Judith. Si L'on S'en Souvient.

Trouver les sens d'une vie de passage
Donner un sens a se que l'on fait
A se que l'on sait
Ne pas attendre la fin du voyage
Traiter mes mains pour mieux te porter
T'ecouter
On peut se pencher en arriere
Mais le jour se perd
En priere, je le sais
On court apres une envolee solitaire

Plutot se le dire, mieux que se mentir
Qui peut retenir se qui passe, se qui lasse, se qu'on laisse qui nous reste
Et fait revenir, se laisser vieillir
Si l'on s'en souvient a la fin

Laisser le vent marquer son sillage
Jouer du temps qui ne revient jamais
Et desormais
Ne plus attendre que passe l'orage
Ouvrir les yeux pour te regarder et m'enivrer
Sous ma peau les os se resserre ete comme hiver
Solitaire, je le sais
Et on cherche en vain a repousser la mer

Plutot se le dire, mieux que se mentir
Qui peut retenir se qui passe, se qui lasse, se qu'on laisse qui nous reste
Et fait revenir, se laisser vieillir
Si l'on s'en souvient a la fin

Plutot se le dire, qui peut retenir se qui passe, se qui lasse, se qu'on laisse
Et fait revenir, se laisser vieillir
Si l'on s'en souvient a la fin

Plutot se le dire, mieux que se mentir
Qui peut retenir se qui passe, se qui lasse, se qu'on laisse qui nous reste
Et fait revenir, se laisser vieillir
Si l'on s'en souvient a la fin

Si l'on s'en souvient a la fin

(Merci a Lepoultier Virginie pour cettes paroles)