Besedila: Ludwig Von 88. Fire.
Ils vont, vaincus, les yeux pleurant des larmes
Noires et gluantes, sang, poussieres et leur peau
Se decolle et boursoufle dans le vent funeste
Qui se dechaine comme l'enfer sur la terre
De longs filets de peau balancaient au bout des doigts
Ils vont bras and avant, la terreur en leur coeur
Voyage hallucinant parmi debris et morts
Et le feu les poursuit de son etreinte letale
Ils errent hagards le visage tumefie
Trainant perdus parmi les morceaux de cadavres
Se jettent instinctivement vers le cours salvateur
D'un bras du fleuve rouge de sang, noir de cendres
Leurs mots se collent aux levres calcinees
Et s'evadent en un rale aux consonances tragiques
Lugubre procession, ils s'en vont titubant
Depouilles dechiquetees dans la brume en suspens
Des ombres sombres dansent figees sur le sol
Formes noiratres irreelles flottant dans la poussiere
Spectres perdus ils s'egarent affoles
Desorientes et nus dans les flammes infernales
Et leurs cris restent vains, leur douleur inutile
Ils s'ecroulent un a un, suffocante agonie
La ville n'est plus que ruine qui geint et se lamente
Au rythme des etres qui s'embrasent et s'eteignent
Noires et gluantes, sang, poussieres et leur peau
Se decolle et boursoufle dans le vent funeste
Qui se dechaine comme l'enfer sur la terre
De longs filets de peau balancaient au bout des doigts
Ils vont bras and avant, la terreur en leur coeur
Voyage hallucinant parmi debris et morts
Et le feu les poursuit de son etreinte letale
Ils errent hagards le visage tumefie
Trainant perdus parmi les morceaux de cadavres
Se jettent instinctivement vers le cours salvateur
D'un bras du fleuve rouge de sang, noir de cendres
Leurs mots se collent aux levres calcinees
Et s'evadent en un rale aux consonances tragiques
Lugubre procession, ils s'en vont titubant
Depouilles dechiquetees dans la brume en suspens
Des ombres sombres dansent figees sur le sol
Formes noiratres irreelles flottant dans la poussiere
Spectres perdus ils s'egarent affoles
Desorientes et nus dans les flammes infernales
Et leurs cris restent vains, leur douleur inutile
Ils s'ecroulent un a un, suffocante agonie
La ville n'est plus que ruine qui geint et se lamente
Au rythme des etres qui s'embrasent et s'eteignent
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