Besedila: Maxime Le Forestier. Les Jours Meilleurs.
A courir du Pacifique a l'Inde, on voulait quoi?
On voyait partout des sardines
Alignees dans de l'huile de moteurs.
Fallait donc qu'on couse a nos Jean's
Des fils de couleurs.
On etait nes sur des ruines.
The times were changing.
On pouvait planter des fleurs.
On voulait juste des jours meilleurs,
Juste des jours meilleurs.
J'entends les melodies grises
Et toute ces voix qui disent:
"Ils viendront plus."
J'entends les fontaines de pleurs.
J'entends gemir les choeurs
Des "Si j'avais su...",
"Si j'avais pu...",
Des "Si j'avais eu moins peur..."
J'entends grossir les ventres
Et fumer les cigares.
Ca fait la difference entre
Ancien adolescent et futur vieillard.
J'entends grossir les flingues
Et fumer les memoires
Pendant qu'une bande de dingues,
Au fond de leurs idees, peuvent arreter l'histoire.
On voyait partout des sardines
Alignees dans de l'huile de moteurs.
Fallait donc qu'on couse a nos Jean's
Des fils de couleurs.
On etait nes sur des ruines.
The times were changing.
On pouvait planter des fleurs.
On voulait juste des jours meilleurs,
Juste des jours meilleurs.
J'en ai trouve qui s'amenent.
Ils s'envolent, ils t'emmenent
Et tu t'en vas,
Tire par trente-six planeurs.
J'en ai trouve qui rodent
Au fond des nuits chaudes,
Au fond d'un lit,
Du tropique a l'equateur.
J'en ai trouve qui passent
En travers de moi,
Un ouragan qui casse
Un gros plan d'habitudes et puis qui s'en va.
J'ai l'impression d'avoir une cible,
Emerger du brouillard,
D'avoir pense l'impossible
Et, dans un soupir du temps, l'apercevoir
Meme si je vois encore des sardines
Alignees dans l'huile des moteurs,
Il me reste un couplet d'Imagine
Qui m'emmene ailleurs...
Juste des jours meilleurs.
(Merci a William APERT pour cettes paroles)
On voyait partout des sardines
Alignees dans de l'huile de moteurs.
Fallait donc qu'on couse a nos Jean's
Des fils de couleurs.
On etait nes sur des ruines.
The times were changing.
On pouvait planter des fleurs.
On voulait juste des jours meilleurs,
Juste des jours meilleurs.
J'entends les melodies grises
Et toute ces voix qui disent:
"Ils viendront plus."
J'entends les fontaines de pleurs.
J'entends gemir les choeurs
Des "Si j'avais su...",
"Si j'avais pu...",
Des "Si j'avais eu moins peur..."
J'entends grossir les ventres
Et fumer les cigares.
Ca fait la difference entre
Ancien adolescent et futur vieillard.
J'entends grossir les flingues
Et fumer les memoires
Pendant qu'une bande de dingues,
Au fond de leurs idees, peuvent arreter l'histoire.
On voyait partout des sardines
Alignees dans de l'huile de moteurs.
Fallait donc qu'on couse a nos Jean's
Des fils de couleurs.
On etait nes sur des ruines.
The times were changing.
On pouvait planter des fleurs.
On voulait juste des jours meilleurs,
Juste des jours meilleurs.
J'en ai trouve qui s'amenent.
Ils s'envolent, ils t'emmenent
Et tu t'en vas,
Tire par trente-six planeurs.
J'en ai trouve qui rodent
Au fond des nuits chaudes,
Au fond d'un lit,
Du tropique a l'equateur.
J'en ai trouve qui passent
En travers de moi,
Un ouragan qui casse
Un gros plan d'habitudes et puis qui s'en va.
J'ai l'impression d'avoir une cible,
Emerger du brouillard,
D'avoir pense l'impossible
Et, dans un soupir du temps, l'apercevoir
Meme si je vois encore des sardines
Alignees dans l'huile des moteurs,
Il me reste un couplet d'Imagine
Qui m'emmene ailleurs...
Juste des jours meilleurs.
(Merci a William APERT pour cettes paroles)
Maxime Le Forestier
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