Besedila: Passi. L'antre De L'ange.
L'autre soir, l'ALTESSE tatait un bizness de soiree,
une doudou de toute beaute, un fruit a l'aise au Bailey.
Y'a eu les : "Attends tu m'as pris pour qui ?".
Pourquoi toujours ces theories de bluffeur, bluffeuse et bluffe ?
Desir commun ? Canape deplie,
le patron plastique se pose dans une main.
Elle rougit de plaisir, je caresse et tate avec doigte,
et nous nous delectons dans une danse ondulee.
Cote-cote, centre, colle-serre, coke, OK ?
Le doux al dente, l'exquis fou fache-fache.
Un bonda souffle comme du Miel-pops a devorer.
Nous goutions sans repit aux saveurs de nos pays.
Refrain
Tu veux l'antre de l'ange,
PASSI,
tu veux l'antre de l'ange...
Fidele insatisfait, tu connais les Cains-Cains :
toute la nuit c'est inne, je suis Vahine jusqu'au matin.
Hiver ou automne je suis chaud comme au printemps,
et quand vient l'ete ?
Rebelotte, an nou alle ! Tes saveurs me hantent, je veut tater,
je veux gouter a ces voluptes, dans ces otes-frottes,
apres 1 2 3 soleil, re-tater un chat-perche.
Pose sous l'appareil, parle la langue des merveilles,
egaye ton corps aux pratiques
des obscures Sciences Physiques,
Fuji-Yama, Kama-Sutra, ou un autre mot "chinois".
Femme de mes joies, ouvre tes frontieres aux tentations,
tonton a un bon jus de passion, ses saveurs nous boirons.
Refrain
Comme a l'ecole, une bombe a max avec un corps de folle,
sur ma parole, mon aureole, elle etait toutes taxes comprises.
Un dehanche qui aguichait, dresses les loups faches.
"Son mec l'a lachee !", peche ! La situation j'exploite.
Mate ! DOUBLE S tchatche ! Et ces folies nous flattent,
une sexuelle automate, aux delices candidate.
Comme un jour qui tue la nuit, une pluie qui tue la soif.
Le feu dans ses eaux, dans les draps, danses de coregraphe.
Puisant nos ebats bas dans sa lointaine fontaine,
pour nos coups de reins de longue haleine.
Bouge ton corps, fais un pas, si corps et ame sont partants,
tous aimons nous abreuver des saveurs de nos contrees.
Refrain
Devant mon carnet d'adresses, encore je m'adresse,
aux deesses de la caresse et je me confesse.
Qui n'a pas peche a la peche aux taspech ?
Goutons aux saveurs de nos pays.
une doudou de toute beaute, un fruit a l'aise au Bailey.
Y'a eu les : "Attends tu m'as pris pour qui ?".
Pourquoi toujours ces theories de bluffeur, bluffeuse et bluffe ?
Desir commun ? Canape deplie,
le patron plastique se pose dans une main.
Elle rougit de plaisir, je caresse et tate avec doigte,
et nous nous delectons dans une danse ondulee.
Cote-cote, centre, colle-serre, coke, OK ?
Le doux al dente, l'exquis fou fache-fache.
Un bonda souffle comme du Miel-pops a devorer.
Nous goutions sans repit aux saveurs de nos pays.
Refrain
Tu veux l'antre de l'ange,
PASSI,
tu veux l'antre de l'ange...
Fidele insatisfait, tu connais les Cains-Cains :
toute la nuit c'est inne, je suis Vahine jusqu'au matin.
Hiver ou automne je suis chaud comme au printemps,
et quand vient l'ete ?
Rebelotte, an nou alle ! Tes saveurs me hantent, je veut tater,
je veux gouter a ces voluptes, dans ces otes-frottes,
apres 1 2 3 soleil, re-tater un chat-perche.
Pose sous l'appareil, parle la langue des merveilles,
egaye ton corps aux pratiques
des obscures Sciences Physiques,
Fuji-Yama, Kama-Sutra, ou un autre mot "chinois".
Femme de mes joies, ouvre tes frontieres aux tentations,
tonton a un bon jus de passion, ses saveurs nous boirons.
Refrain
Comme a l'ecole, une bombe a max avec un corps de folle,
sur ma parole, mon aureole, elle etait toutes taxes comprises.
Un dehanche qui aguichait, dresses les loups faches.
"Son mec l'a lachee !", peche ! La situation j'exploite.
Mate ! DOUBLE S tchatche ! Et ces folies nous flattent,
une sexuelle automate, aux delices candidate.
Comme un jour qui tue la nuit, une pluie qui tue la soif.
Le feu dans ses eaux, dans les draps, danses de coregraphe.
Puisant nos ebats bas dans sa lointaine fontaine,
pour nos coups de reins de longue haleine.
Bouge ton corps, fais un pas, si corps et ame sont partants,
tous aimons nous abreuver des saveurs de nos contrees.
Refrain
Devant mon carnet d'adresses, encore je m'adresse,
aux deesses de la caresse et je me confesse.
Qui n'a pas peche a la peche aux taspech ?
Goutons aux saveurs de nos pays.