Besedila: Patrick Bruel. Juste Avant. Elie.
:
Il t'a regarde
Puis il m'a souri
Depuis si longtemps
Il n'avait rien dit
Y avait presque un siecle
Qui vous separait
Le long de sa joue
Une larme coulait
Il t'a pris au bout de ses bras
Dans un eclat de rire
Toi, bebe, tu sa pris son doigt
Comme pour le retenir
Puis il t'a parle
De cette vie passee
Il t'a raconte
La tienne qui commencait
Toutes tes coleres
Toutes tes peines, tes joies
Tes plus belles guerres
Celles que l'on ne gagne pas
Et puis ses yeux se sont poses
Doucement sur chacun,
Et chacun de nous y lisait
Quelques mots pour demain
Vivre pour pouvoir revivre
C'est la ton seul devoir
Celui de dire pour rester libre,
Celui de ta memoire
Ses yeux chantaient merci, merci,
J'ai plus peur de partir
Et puis vient Celine,
Celle qui aimait tant
Elle n'aimait que lui
Depuis soixante-deux ans
Il la regardait,
Pas besoin de mots,
Ses yeux lui disaient
Ne tarde pas trop
Il t'a regarde
Puis il m'a souri
Depuis si longtemps
Il n'avait rien dit
Y avait presque un siecle
Qui vous separait
Le long de sa joue
Une larme coulait
Il t'a pris au bout de ses bras
Dans un eclat de rire
Toi, bebe, tu sa pris son doigt
Comme pour le retenir
Puis il t'a parle
De cette vie passee
Il t'a raconte
La tienne qui commencait
Toutes tes coleres
Toutes tes peines, tes joies
Tes plus belles guerres
Celles que l'on ne gagne pas
Et puis ses yeux se sont poses
Doucement sur chacun,
Et chacun de nous y lisait
Quelques mots pour demain
Vivre pour pouvoir revivre
C'est la ton seul devoir
Celui de dire pour rester libre,
Celui de ta memoire
Ses yeux chantaient merci, merci,
J'ai plus peur de partir
Et puis vient Celine,
Celle qui aimait tant
Elle n'aimait que lui
Depuis soixante-deux ans
Il la regardait,
Pas besoin de mots,
Ses yeux lui disaient
Ne tarde pas trop
Patrick Bruel
Rien Ne S'Efface
Patrick Bruel