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Besedila: Psykick Lyrikah. Dans Les Temps.

Jdemarre au quart, et toujours dans les temps, ou presque, le son qui racle et qu'on attend, nulle part, loin des choses et des gens, souvent loin mais pas planques juste a l'ecart ; bien.
J'aime les forces vives en secret, les amis, hurler des poemes quand ils bavent, le silence et la pluie lorsqu'elle rapplique, ici tu sais qu'on ne vit pas sans, decouper les choses, arranger des proses, pas de sel qui tombe aux premiers coups d'epaules, retourner les mots, voir leur envers, aligner les jours, detourner les codes de l'autre ere ;
j'aime le vent lorsqu'il annonce le bordel, quand tu sens que les gens sentent qu'ils te perdent, la chaleur d'une tres courte nuit a faire tourner le son en ecrivant des braises, les yeux rives la ou croirait plier les vies, comme ca, deranger le pire et decrier le vite, comme vous l'avez toujours fait, beaucoup, partout, s'eteignent, tardent ou s'en prenne, a tous ceux qui ne savent plus comment faire, on nous apprend a fuir, a parler, a retracter nos griffes et nos tetes affamees.
Je n'ai pas l'heure d'ici, de maintenant, mais les memes reves qu'hier ou qui sait, dans vingt ans,
je n'entends que la foudre, que la pluie, j'aime douter de mes propres appuis.

Pas d'idees, de plans, de suivi, de visee, pas de grandes lignes ou de grands mythes a briser, pas de posture, pas de jeu, pas de peines, ni discours, on le fait comme on veut, comme on veut,...

Regardez nos cotes du reve, ceux qui dorment au fond des pupilles, ceux qui brillent, ceux qui donnent, ce qui fait nos allures et leurs armes, ceux qui sechent nos larmes et nos armures, j'ecoute le monde et ses rouages plier, j'entends l'echo de quelques visages, personne ne t'attend ici, personne ne veille, et la nuit, plus rien ne dort, plus rien ne paye, j'aimerais ne plus sentir se qu'on perd, faire semblant de sortir du contexte, on est tous un peu speed, et quand tout parait strict, traquer la quietude, nourrit tout ce qui inspire le doute et les aleas des choses, petites, qui ne servent qu'a nous, mais n'apparait pas dans nos rimes.

Je n'entends que la foudre, que la pluie, j'aime douter de mes propres appuis.

Douter de mes propres appuis...

(Merci a lydia pour cettes paroles)
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