Besedila: Tété. 1770.

L'Eden disent les fous
N'est plus comme avant
Les enfers itou
Qu'importe maint'nant

Que decante te dis-je
Un odieux prodige,
Pas comme quand
T'avais 20 ans

En 1700 septante

C'etait bien mieux dans le temps
En ta prime de jeunesse
Tes doux 20 ans

En 1700 septante

Par bonheur le tout venant
Savait ne m'en deplaise
Sa place,son rang

En 1700 septante

Sermons et grelots
En guise de linceul
Ultime soubresaut
De feu ton orgueil

Il se joue te dis-je
Un odieux prodige,
Pas comme quand
T'avais 20 ans

En 1700 septante

C'etait bien mieux dans le temps
En ta prime de jeunesse
Tes doux 20 ans

En 1700 septante

Par bonheur le tout venant
Savait ne m'en deplaise
Sa place,son rang

En 1700 septante

Et quand certains jours
De depit tu te languis

Des vertus d'un passe
A jamais revolu

Que chuinte le sang
De ton lignage
De tes aieux
Chante leur courage
Loue si tu peux la place laissee vacante.

C'etait bien mieux dans le temps
En ta prime de jeunesse
Tes doux 20 ans

En 1700 septante

Par bonheur le tout venant
Savait ne m'en deplaise
Sa place,son rang

En 1700 septante (x2)

(Merci a Juliette pour cettes paroles)