Sur l?oreiller une larme Dans mon souvenir un drame Tout ce qu?il m?a laisse Un pas que l?on croit entendre Une voix que l?on veut surprendre Tu
Il y a des mots qui me gene des centaines de mots des milliers de rengaines qui ne sont jamais les memes Comment te dire je veux pas te mentir tu m'attires
Ou sont passes les annees, le bon vieux temps Les fou rires incontroles, qu'on aimait tant Je revois les personnages, qu'on n'oublie pas Celle de la
On a passe des heures devant le miroir Mais ya personne qui est la pour le voir On est reste des heures assises au comptoir Mais ya personne qui est venu
Je les entends Je les comprends Mais j'ai plus envie d'y croire Je les apprends comme un enfant Mais je ne veux plus les voir J'en vois passer J'en vois
Trahie, je jette les clefs de la maison Je vais bientot retrouver mon nom Sans rien attendre, ses espoirs sont reduits Une nouvelle vie sans lui Encore
Il la regardait marcher Je le regardais aller Toujours ses yeux se posaient Vers moi parfois j?esperais Je le regardais aller Il la regardait marcher
C'est fou ce qu'on peut etre con L'amour rend parfois trop con Parfois trop... On chasse ce qu'il y a de pire Pour croire et pour s'epanouir Parfois trop
C'est une chanson, d'amour Elle nous parle de demain D'un aujourd'hui qu'on retient On l'aime a nous rendre saouls D'un amour unique et sain Sans desarroi
Un peu de gris dans le ciel Un peu de gris en nous Plus de bonnes nouvelles Qui viennent enfin nous mettre debout Plus le temps de sourire La fatigue
Tu m?ecris des « je t?aime » qui me prennent en otage C?est tout ce que t?as trouve pour pas tourner la page T?as fait tes bagages sans vraiment demenager
Sur l'oreiller une larme Dans mon souvenir un drame Tout ce qu'il m'a laisse Un pas que l?on croit entendre Une voix que l?on veut surprendre Je sais
Assise a la fenetre je regarde la Seine Je te revois passer et me rappel Ce tableau lointain qui vient et m'emmene Se pose par ici me prend sous ses ailes