Tu n'oses pas te laisser faire, Tu l'as jamais fait Pourtant tu te couches parterre En secret Tu n'oses pas toucher ton corps T'as peur de grandir Pourtant
Ca boit le petit noir ou le petit vin blanc Ca cherche la bagarre et du boulot souvent Ca leve le poing, ca bouge, ca manifestationne Ca sort tous les
C'est vrai je fume trop C'est vrai que je bois trop, avec des gens qui parlent trop Il est vrai que je traine un peu trop C'est vrai je sort trop C'est
Tous les matins, c'est la meme corrida Lever la tete, ouvrir les bras Tous les matins, c'est le meme numero Trouver l'amour, chercher les mots Je suis
Cache-moi comme un enfant dans ta robe de mariee Couche-moi comme un amant dans un lit casse Attache-moi les poignets fais-moi prisonnier Arrache et
Reprise de Daniel Balavoine {A-ya a-ya a-ya} {A-ya a-ya a-ya, a-ya a-ya} La muraille Tremble et se fend Comme un coeur qui eclate en deux Et la femme
Parle-moi des simples choses Emmene-moi a l'opera Offre-moi des roses et des camelias Parle-moi des jolies choses Des cahiers du cinema Et des questions
J'ai suivi les rues Qui descendent a la plage Parmi les voyageurs Voyageant sans bagage J'ai suivi mes pas Et j'ai croise les tiens Ton ombre Jolie comme
Un peu speciale, elle est celibataire Le visage pale, les cheveux en arriere Et j'aime ca Elle se dessine sous des jupes fendues Et je devine des histoires
On n'etait pas des memes trottoirs On n'etait pas des memes quartiers On n'a pas lu les memes histoires On n'est pas ne du meme cote Je suis un homme
Elle est comme ces iles au tresor dont le tresor est d'y aller A pied, a cheval, en voiture tous les moyens de la nature Elle est comme ces voyages fous
Fais semblant Fais semblant de me croire quand je parle Fais semblant De sourire a mes histoires que tu connais Fais semblant Quand on est la devant
Marc Lavoine A deux pas d'ici, j'habite, peut-etre est-ce ailleurs J'n'reconnais plus ma vie, parfois je me fais peur Je vis dans un monde qui n'existe
J'aime etre seul a ecrire des mots indemodables J'aime etre seul a sentir que la vie est friable Seul a compter mes moutons et mes jours innombrables
J'aurais voulu te dire des mots nouveaux J'aurais voulu t'ecrire des lettres a fleur de peau J'aurais voulu changer le jour la nuit J'auris voulu t'offrir
J'ecris tous les jours meme sans les violons Meme si j'ai le c?ur lourd quand je trouve le temps long Pour sentir la vie, tu sais, comme on dit pour
Depuis que le temps passe Je suis soul sur le Mirabeau Tous les jours j'y passe Mais les mots se diluent dans l'eau Passe la joie et la peine Les mois
Cette froide violence en toi La supporter j'y arrive pas Je sais plus c'que tu penses de moi Quand tu n'me regardes pas Excuse-moi d'y avoir cru C'est