Je marche ivre et il est tard Pour bruler mes idees noires C'est un soir de brouillard Ou le cauchemar prend son depart Y' a quelqu'un qui me
C?est a la fin de l?automne Que tombe en ronde monotone L?histoire de l?unique D?un monde fantastique Il n?y aura plus d?aussi belles saisons
Je vous fait des confidences Si je souffre en silence Je nierais mes confidences Si elles tombent en decadence Je nierais meme l?evidence Pour
L'homme au sexe faible, trop tranquille Assis, seul dans un coin, inutile Se preservait des autres car tres reserve Enervaient les cancres qui l'avait
Et il est mort D'un commun accord Il a quitte le monde Un monde immonde Un triste sort Pour un c?ur d'or Il a rejoint le paradis Lui qui ne vivait
Oh grand desespoir de la magie qui cache quelque chose! A la beaute divine qui donne l?envie d?oublier le paradis Le conte de prince avait depuis
J'elimine, le stress, la journee C'est decider, je passe condamne Celui qui a ose ! ! ! ! Deraisonne et le bruit raisonne J'ai joue de l'arme a feu
Il y a l?avant du sentiment Celui qui brille tout le temps S?il s?en va, c?est comme ca Tu dis, tout simplement Il y a l?apres du temps qui passe
Connais tu la sorciere ! La sorciere a le regard Mesquin Elle s'amuse avec le malin car elle prefere le mal au bien Elle ne connait ni remord, ni
Si pour etre model Je dois m?approcher De la beaute du ciel En devenir prisonnier Je me maquillerais Je forcerais le reve A soigner mes plaies
Le vent bouscule mes envies l'ennui court avec folie, J garde mon sang froid Je trouverai la sortie La verite ailleurs est ecrite Elle n'est
Je suis l?enfant venu d?ailleurs Il est un ange qui vient sans peur Perdu dans l?antre de mon visage Peut-il trouver un passage? Je vis l?imaginaire
Masquer ce que l?on ressent Pour vivre sans tourment Voir le futur comme le present Sans aucun changement Se rappeler des souvenirs Qui encore
Le tort s?empare de moi Ne me laisse pas sans emoi Les pensees du passe Reviennent me tourmenter Mon regard plonge dans le vide Mon absence peut
Je porte la laideur Comme un jolie tailleur Je suis naturellement Un homme repoussant En societe pas de place Pour les grosses carcasses Ne faut
Vous etes certain que les autres font comme vous Et les autres doute de certains comme ils sont fous L?amour et sa moitie, moitie de betises cachees
Tu n?ecris pas de mots d?amour Tu te defiles quand j?accours Mais ou va t-on mon amour Si tu chasses mon amour? Tu parles peu d?amour, mon amour
C?etait merveilleux De vivre dans tes yeux C?etait, ce n?est plus Ca ne le sera jamais plus C?etait merveilleux De vivre tous les deux C?etait